JeChanteSouvent

Articles les plus récents

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  En guise de conclusion...

  19173^e jour

  En guise de conclusion.
  L’important c’est de se connaître mieux, non pas croire/savoir ce qui, dans notre passé, pourrait avoir causé tel ou tel comportement mais directement insuffler la connaissance actuelle, le constat de ce que nous sommes, dans nos actions.
  Bonne route !

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  Si j’étais étranger

  18960^e jour

  Si j’étais étranger au pays dans lequel je suis, ne parlant pas bien la langue de ses habitants, n’en comprenant pas bien les coutumes, n’ayant même pas leur couleur de peau, il se peut qu’il se mette entre nous des difficultés à communiquer, voire des impossibilités de le faire, des refus d’apprendre ou de comprendre, des malentendus. Tout cela pourrait finir — je me trouverait par exemple définitivement exilé — par la détresse ou le cynisme ou la violence.. Et il y aurait un peu tout ça chez moi.
  Mais (...)

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  Aux limites du ciel

  18958^e jour

  Chacun de nous est limité : par son corps, sa culture... mais il y a des gens chez qui j’éprouve ces limites parce qu’il refusent de les dépasser ou simplement de regarder au-delà d’elles parce qu’ils affirment qu’elles sont infranchissables, définitives parce qu’ils croient que ces limites sont déjà celles du monde...
  Parfois je me heurte violemment à ces murs et me voilà perdu dans un taillis d’incrédulité et de souffrance.
  Je le redis : je suis aussi limité que chacun de nous et c’est nécessaire : ce (...)

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  Dites-le à vos enfants !

  18950^e jour

  Je suis né en 1964. Ça explique un certain nombre d’incompréhensions et de violences : notre petite famille n’appartenait pas au milieu socioculturel qui aurait permis à ma mère de comprendre que l’étrangeté de ma tournure d’esprit était acceptable, aimable même et fertile ! Elle n’y a même vu qu’une peine pour elle, une punition.
  Au lieu de compréhension il y eut désolation, au lieu d’accueil, mépris et humiliation, au lieu d’amour, violence.
  Un maître d’internat, quand j’avais 15 ans, a aimé que je sois (...)

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  Âmes qui vivent

  18875^e jour

  On peut marcher durant des heures sans rencontrer âme-qui-vive. Même, vivre pendant des jours. Où sont-elles donc ces âmes qui vivent ?

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  Buissonnière !

  18769^e jour

  Pensée arborescente dit-on — on le dit de certaines fougères
  Je la dirais plutôt traversière — on le dit de certaines flûtes
  buissonnante ou forestière — comme une allée
  Je dirais qu’elle est buissonnière !

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  Les mots dans le filet

  18672^e jour

  Il y 20 ans, voilà comment je réfléchissais : je saisissais au vol les idées qui passaient et ça faisait des mots dans mon filet. Mes interlocuteurs étaient déroutés par ce que je leur tendais. Il aura fallu 17 années de mille aventures pour qu’enfin je comprenne et arrête de sautiller en public.

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  Vous faites comme vous voulez

  18666^e jour

  C’est un peu un article de geek, attention.
  J’ai des copains-amis qui ont des ordinateurs Apple® ou des PC sous Windows® (j’en ai quand même moins des copains-amis comme ça). Depuis de nombreuses années je me suis tourné vers des distributions Linux. J’en ai essayé beaucoup. Je les ai souvent trouvé moches et/ou instables, et/ou carrément inutilisables. Le détour le plus long (plusieurs années) c’était par Ubuntu : assez regardable et paramétrable . J’ai fini par en avoir marre des dysfonctionnement de (...)

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  « Compte le nombre d’étoiles »

  18659^e jour

  J’ai été humilié pendant des années, à pointes incompréhensibles ; tu n’es pas un amant comme il faut, tu ne t’habilles pas comme il faut, tu ne fais pas la bise comme il faut, tu ne te comportes pas en société comme il faut, tu n’es pas un artiste comme il faut — de toute façon, la peinture ça ne sert à rien — tu n’es pas un père comme il faut, tu ne manges pas comme il faut, tu ne parles pas comme il faut, tu ne te soignes pas comme il faut, tu n’es pas calme comme il faut, tu ne fais pas attention à moi (...)

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  Parcours de la reconnaissance

  18599^e jour

  Je réalise que Parcours de la reconnaissance est aussi le titre de la dernière œuvre de Paul Ricœur. Tant pis. Aucun rapport. Si ce n’est le mot « cœur » qu’on pourrait trouver en filigrane dans le récit de mon parcours ainsi que dans le nom « Ricœur ». Bon. La petite liste qui suit est sans commune mesure avec l’œuvre du susnommé philosophe : elle n’est qu’un court historique inachevé de ma recherche de reconnaissance. Décembre 2012, je passe un bilan WAIS auprès d’Amélie Bertin à Bordeaux Janvier 2013, je (...)

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